Le groupe dont le siège est aux Etats-Unis produit et distribue des denrées alimentaires de qualité sur tous les continents et emploie près de 40.000 personnes pour un CA de plus de 15Mds$. Présent sur des marchés très différents tels que les biscuits, céréales, légumes, glaces… ses produits accompagnent les consommateurs au quotidien.
La problématique du recrutement du Directeur Financier
Il s’agit de remplacer le Directeur Financier en poste qui n’a pas pris la mesure de sa position. Toujours dans sa posture d’ancien FP&A et nommé à ce poste plusieurs mois auparavant, de nombreuses difficultés sont apparues dans sa manière de fonctionner : pas de management des équipes finance et aucune volonté de les impliquer dans les projets, complexification des sujets et problème de posture vis-à-vis de ses pairs et de sa hiérarchie. Un recrutement s’impose donc afin de pallier à ses manquements qui pèsent sur l’efficacité du service, sa hiérarchie et sa crédibilité vis-à-vis du groupe.
Les soft skills au cœur de cette chasse
Reportant au Managing Partner et membre du COMEX d’une zone de plusieurs pays européens, une chasse très précise a donc été lancée afin d’approcher des profils qui devaient impérativement posséder une expertise confirmée en environnement « FMCG », soit bien de consommation, au sein d’un groupe américain ou international et matriciel. Une forte culture du résultat et une capacité à « faire l’hélicoptère » entre l’opérationnel et le stratégique, et ainsi occuper le rôle de bras droit du Managing Partner étaient également indispensable.
Ce n’est pas la technicité financière du DAF en poste qui est remise en cause mais bien ses soft skills sur lesquels nous avons particulièrement travaillé afin de répondre au triple enjeu évoqué précédemment.
Avoir de l’entregent et une forte agilité d’esprit afin de naviguer aisément dans une organisation complexe, politique et auprès d’une multitude d’interlocuteurs internationaux était un premier élément. Savoir impacter et influencer pour une meilleure prise de décisions tout en sachant prendre du recul en était un deuxième. Rassurer, communiquer positivement et simplifier en était un troisième. Et enfin et pas des moindres, savoir jouer collectif et s’imposer en tant que leader en toute humilité et à tous les niveaux de la hiérarchie. De fortes capacités managériales étaient donc indispensables afin de remotiver et fédérer des équipes parfois en souffrance ou laissées de côté ; et redonner du sens et un cap clair dans la mesure où il n’y avait jusque-là pas vraiment de « pilote dans l’avion ».
Là encore, des reportings et échanges réguliers, expliquant la complexité du marché et de ce recrutement, compte tenu du cahier des charges très précis et restreint demandé par notre client, nous ont permis d’affiner notre stratégie de recherche, de trouver des solutions et de toucher au but en recrutant notre perle rare.